Préventions de secours.
Il est impossible d'empêcher la formation d'un cyclone, mais il existe des moyens de prévention afin de limiter les dégâts de celui-ci.
Tout d'abord, la prévention anti-cycloniques repose en grande partie sur la surveillance météorologique par les satellites et l'instauration des différents niveaux d'alertes qui participent à la bonne marche des possibles opérations de secours.
Les campagnes de préventions sont relativement ancrées dans les pays développés, mais les inégalités restent majeure dans ce domaine ( Haïti est souvent touché par ce phénomène, mais les campagnes de préventions sont très faible voire inexistantes ). C'est pourquoi la surveillance météorologique est une chose primordiale dans la prévention cyclonique. L'organisation météorologique mondiale a donc fondé plusieurs groupes ( un par bassin océanique ) appelés centre météorologique régional spécialisé ( CMRS ), qui sont au nombre de cinq :
- Miami ( couvrant l'océan Atlantique nord et l'océan Pacifique nord-est )
- Tokyo ( couvrant l'océan Pacifique nord )
- New-Delhi ( couvrant le golfe du Bengale et mer d'Oman )
- Fidji ( couvrant l'océan Pacifique sud-ouest )
- Saint-Denis-de-la-Réunion ( couvrant le sud-ouest de l'océan Indien ).
De cette manière, 14 satellites détectent et transmettent les informations relevées par les centaines de bouées océaniques disposées à des endroits stratégiques, ainsi que 10 000 stations terrestres, des avions chasseurs de cyclones et plusieurs bateaux sont mobilisés en permanence, offrant donc prêt de 50 000 rapports météo quotidiens, disponibles auprès des centres météo du monde entier, inter-connectés en permanence.
Ces groupes ont pour principales fonctions de détecter les cyclones, et de prévoir leur évolution ( intensification, trajectoire possibles ). Une fois ce travail fait, ce centre transmet ses informations aux services météorologiques nationaux, afin qu'ils prennent les mesures qui s'impose, selon la situation.
Le CMRS dispose de 5 niveaux d'alertes :
# La mise en garde des services administratifs : premier niveau d'alerte. Mise en vigueur sans appel au public, le cyclone se situant à 72h au plus de la zone concernée, et aucune certitude n'est présente sur la trajectoire définitive.
# La phase de vigilance : second niveau d'alerte, est déclenché dans les 48h avant passage théorique du cyclone sur la zone impliquée. Cette phase est quant à elle rendue publique par les autorités locales, par tous les moyens médiatiques existant, transmettant une mise en garde aux habitants.
# La phase de pré-vigilance : Alerte déclenchée les 24 dernières heures avant danger cyclonique. La population est fortement conseillé de se protéger.
# La phase d'alerte : Le danger se rapproche dangereusement, le cyclone n'étant plus qu'à 6 à 8 heures avant que le lieu-dit ne soit touché par les vents violents. Toutes activités humaine doit cesser, et toute personne doit se confiner immédiatement.
# La phase de confinement : Danger maximum, le cyclone est sur les lieux, tout déplacement est interdit.
A la suite de d'une étude approfondie de la situation, les gouvernements sont libres de décider les mesures nécessaires ( campagnes, évacuation des zones à risques, procédure de confinement etc... ).Malheureusement les gouvernements ont parfois du mal à anticiper les cyclones, prenant ainsi les mauvaises décisions ou n'aidant suffisamment la population à se protéger ( logements vétustes, non-conformes aux normes de sécurité indispensables )
Ces améliorations coûtent souvent chère aux gouvernement, qui ne peuvent anticiper l'ampleur des dégâts, ou vérifier que chaque habitation respecte les normes contre les vents, que chaque arbre a proximité des lieux de vie on été abattus, ou même que chaque objet susceptible d'être dangereux en cas de forts vents aient été supprimés. C'est pourquoi les pays les plus pauvres ont le plus de mal à limiter les dégâts, en raison de l'absence de plan d'urbanisme concrets. Cependant, chacun peut veiller à sa propre sécurité en accumulant des procédure simples mais efficaces.
Tout d'abord, la prévention anti-cycloniques repose en grande partie sur la surveillance météorologique par les satellites et l'instauration des différents niveaux d'alertes qui participent à la bonne marche des possibles opérations de secours.
Les campagnes de préventions sont relativement ancrées dans les pays développés, mais les inégalités restent majeure dans ce domaine ( Haïti est souvent touché par ce phénomène, mais les campagnes de préventions sont très faible voire inexistantes ). C'est pourquoi la surveillance météorologique est une chose primordiale dans la prévention cyclonique. L'organisation météorologique mondiale a donc fondé plusieurs groupes ( un par bassin océanique ) appelés centre météorologique régional spécialisé ( CMRS ), qui sont au nombre de cinq :
- Miami ( couvrant l'océan Atlantique nord et l'océan Pacifique nord-est )
- Tokyo ( couvrant l'océan Pacifique nord )
- New-Delhi ( couvrant le golfe du Bengale et mer d'Oman )
- Fidji ( couvrant l'océan Pacifique sud-ouest )
- Saint-Denis-de-la-Réunion ( couvrant le sud-ouest de l'océan Indien ).
De cette manière, 14 satellites détectent et transmettent les informations relevées par les centaines de bouées océaniques disposées à des endroits stratégiques, ainsi que 10 000 stations terrestres, des avions chasseurs de cyclones et plusieurs bateaux sont mobilisés en permanence, offrant donc prêt de 50 000 rapports météo quotidiens, disponibles auprès des centres météo du monde entier, inter-connectés en permanence.
Ces groupes ont pour principales fonctions de détecter les cyclones, et de prévoir leur évolution ( intensification, trajectoire possibles ). Une fois ce travail fait, ce centre transmet ses informations aux services météorologiques nationaux, afin qu'ils prennent les mesures qui s'impose, selon la situation.
Le CMRS dispose de 5 niveaux d'alertes :
# La mise en garde des services administratifs : premier niveau d'alerte. Mise en vigueur sans appel au public, le cyclone se situant à 72h au plus de la zone concernée, et aucune certitude n'est présente sur la trajectoire définitive.
# La phase de vigilance : second niveau d'alerte, est déclenché dans les 48h avant passage théorique du cyclone sur la zone impliquée. Cette phase est quant à elle rendue publique par les autorités locales, par tous les moyens médiatiques existant, transmettant une mise en garde aux habitants.
# La phase de pré-vigilance : Alerte déclenchée les 24 dernières heures avant danger cyclonique. La population est fortement conseillé de se protéger.
# La phase d'alerte : Le danger se rapproche dangereusement, le cyclone n'étant plus qu'à 6 à 8 heures avant que le lieu-dit ne soit touché par les vents violents. Toutes activités humaine doit cesser, et toute personne doit se confiner immédiatement.
# La phase de confinement : Danger maximum, le cyclone est sur les lieux, tout déplacement est interdit.
A la suite de d'une étude approfondie de la situation, les gouvernements sont libres de décider les mesures nécessaires ( campagnes, évacuation des zones à risques, procédure de confinement etc... ).Malheureusement les gouvernements ont parfois du mal à anticiper les cyclones, prenant ainsi les mauvaises décisions ou n'aidant suffisamment la population à se protéger ( logements vétustes, non-conformes aux normes de sécurité indispensables )
Ces améliorations coûtent souvent chère aux gouvernement, qui ne peuvent anticiper l'ampleur des dégâts, ou vérifier que chaque habitation respecte les normes contre les vents, que chaque arbre a proximité des lieux de vie on été abattus, ou même que chaque objet susceptible d'être dangereux en cas de forts vents aient été supprimés. C'est pourquoi les pays les plus pauvres ont le plus de mal à limiter les dégâts, en raison de l'absence de plan d'urbanisme concrets. Cependant, chacun peut veiller à sa propre sécurité en accumulant des procédure simples mais efficaces.